Quand elle parle aux autres, elle dit “voilà, ma mère est morte”, c’est douloureux et doux à la fois. Mais quand elle invoque ce visage, elle prend conscience de la disparition absolue et c’est un abîme, une cruauté infinie, indicible.
♦ Publié avec le concours du centre Régional des Lettres de Midi-Pyrénées ♦
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