« Je marche tout droit entre les arbres désordonnés, sans dévier. Dans une oreille, la respiration caverneuse, dans l’autre le soyeux rouge de mes articulations. Je danse. Je vois de dos les écorces – la poignée de chaleur de mon coccyx – racines, roches, plantes de mes pieds. Mon corps est soulevé en spirale, s’enroule aux fougères. Je m’ébroue. »