Raymond Farina laisse revenir en lui le passé, souvenirs des temps heureux souvent, liés à son amour de la nature, ses multiples rencontres et découvertes, son insondable culture.
Que faire d’autre quand on est confiné entre quatre murs ? La pandémie colore ces « réminiscences » de nostalgie, mais il réussit à apprivoiser avec un humour serein et une ironie mesurée certaines expériences douloureuses – car le poète reste un
exégète enchanté
de tout ce qui fait signe
dans le grand kaléidoscope
et Raymond Farina est un immense poète.